jeudi 28 novembre 2013

Comment j’ai lancé un e-commerce sur un marché concurrentiel


Bonjour Arnaud, peux-tu te présenter ainsi que ton activité ?

Arnaud Peré, 23 ans, j’ai lancé mon ecommerce de tee shirts en mai 2013,www.monsieurtshirt.com. Six mois après son lancement, Monsieurtshirt.com référence près de 60 marques et offre le choix le plus large et le plus qualitatif de t-shirts sur la toile. Des marques incontournables aux côtés de découvertes avec en prime une livraison toujours gratuite, voici le crédo de Monsieurtshirt.com. Avec déjà plusieurs milliers de t-shirts vendus, la startup vient de renforcer son positionnement en lançant une nouvelle gamme de produits, le sweat-shirt, et un site spécialisé pour la clientèle féminine, « Madame tee shirt ».

As-tu 2 anecdotes intéressantes sur ton aventure à partager avec nous ?

Oui, bien sûr !
·         « 1h d’entretien sur Skype et on s’associe » : Il a suffi d’1h sur Skype entre la France et les Etats-Unis avec l’un de mes futurs associés pour décider de se lancer ensemble. On va finalement finir par se rencontrer « en vrai » en janvier prochain et s’installer dans les mêmes bureaux, près de 10 mois après le début de notre collaboration. Cet associé était une connaissance d’un ami. Je ne l’ai jamais rencontré avant, mais nous connaissions nos compétences respectives. En quelques minutes, et grâce à des outils de gestion du travail à distance, cette collaboration a vu le jour. Il n’y a plus de barrière géographique pour s’associer et créer une société entre plusieurs collaborateurs répartis sur des territoires différents.
·         « Créer une startup française depuis les Etats -Unis » : Avant le début du projet, il était acté que je devais terminer ma scolarité dans une université américaine. Entre temps, l’idée de Monsieurtshirt.com a vu le jour. Impossible de faire machine arrière, les deux choses devaient être menées de front. Du coup, je me suis retrouvé à lancer Monsieurtshirt.com depuis les Etats-Unis, avec 6h de décalage horaire avec mes autres collaborateurs plus des journées de cours. Résultat : des journées très chargées mais passionnantes. Le retour en France est prévu pour décembre 2013.

Que retires-tu de cette expérience et tes conseils ?

1/ Il n’est jamais trop tôt pour entreprendre
J’ai commencé le projet Monsieurtshirt.com à 22 ans, en année de césure d’une école de commerce. Lancer une startup en tant qu’étudiant est idéal. Vous avez du temps, peu d’engagement à satisfaire au quotidien, vous avez besoin de peu d’argent et vous avez déjà tissé un réseau de personnes capables de soutenir le projet.
2/ Il est possible de se lancer sur un marché très concurrentiel
Le secteur du e-commerce de t-shirts est un secteur très concurrentiel où quelques sites très bien financés dominent le marché. Si Monsieurtshirt.com avait choisi de faire comme tous ces acteurs, c’est-à-dire de la personnalisation de t-shirts, c’était perdu d’avance. Nous avons analysé ces acteurs et remarqué (avec surprise) qu’il faisait tous plus au moins la même chose. Nous avons donc pris le parti de mettre en avant des marques, connues ou méconnues, et surtout une offre produit que vous ne trouverez nulle part ailleurs. Cela nous a permis d’acquérir plusieurs milliers de clients en seulement six mois. Il n’est pas donc pas impossible de faire sa place sur un marché concurrentiel, il faut simplement chercher à différencier son produit et faire ressortir clairement les avantages de son service par rapport à la concurrence. Chez Monsieurtshirt.com, il s’agit : Du choix le plus large et le plus qualitatif de marques, une livraison toujours gratuite et un service client très humain.
3/ L’importance du « naming »
Monsieurtshirt.com vend des t-shirts pour des hommes. Le nom est donc très évocateur du service associé et facilement mémorisable. C’est un véritable atout car à moins d’avoir des budgets de communication élevés, il est très difficile d’imposer un nom de marque peu-évocateur de son service. Chez Monsieurtshirt.com, le produit et le message sont clairs, y compris dans le nom du site. Un très bon exemple sur le marché du jean est le site sojeans.com. C’est également la raison pour laquelle notre nouveau site de t-shirts pour femmes s’appelle www.madametshirt.com.
4/ Merci Facebook
L’acquisition de trafic est le nerf de la « guerre » sur internet. Les places en SEO (référencement naturel) sont dures à arracher, les adwords sont très chers et les relations publiques parfois hasardeuses. Facebook est un incroyable relais de trafic où le bouche à oreille est maître. En quelques semaines, notre page Facebook comptait déjà plusieurs milliers de fans et généraient plus de 20% de notre trafic. Le meilleur atout sur Facebook pour acquérir des fans et générer de l’audience de son site  est de parler de son sujet de façon pertinente sans hésiter à donner des anecdotes sur la vie de la startup pour créer un lien de proximité avec les fans.
5/ Le service client
L’achat sur internet s’est démocratisé. En revanche, les clients sur internet redoutent toujours les fraudes bancaires, les retards de livraison, les retours de produit…Bien souvent, le client ne trouve aucun interlocuteur à qui s’adresser pour résoudre son problème ou soulager son inquiétude. Ne vous contentez pas de créer une boîte mail service client et d’y répondre de temps en temps. Pour satisfaire les clients, il faut être DISPONIBLE et REACTIF.


jeudi 24 octobre 2013

Danone investit l’Afrique de l’Ouest

Le groupe va prendre le contrôle de Fan Milk International, un des premiers fabriquant de yaourts d’Afrique de l’Ouest. 
Danone a annoncé, jeudi 24 octobre, qu’il s’était associé au fonds d’investissement Abraaj pour acquérir Fan Milk International, un « acteur majeur » des produits laitiers glacés et des jus en Afrique de l’Ouest (Ghana, Nigeria, Togo, Burkina Faso, Bénin et Côte d’Ivoire). Le montant de la transaction n’a pas été dévoilé, mais il s’agit de l’investissement le plus important de Danone dans la région, affirme le groupe. Abraaj et Danone vont détenir 51 % et 49 % de Fan Milk, mais « Danone prendra respectivement le contrôle de la société dans les années à venir », souligne le communiqué.
Basée à Dubai, et spécialisé dans les pays émergents, la société d’investissement Abraaj gère plus de 7,5 milliards de dollars d’actifs à travers plus d’une vingtaine de fonds spécialisés par pays et par secteur. En juin dernier, ce fonds avait mis 350 millions de dollars sur la table pour reprendre ce fabricant de yaourts, créé il a un demi-siècle par un groupe danois.
Fan Milk, qui réalise un chiffre d’affaires de 120 millions d’euros, dispose d’une très forte notoriété en Afrique de l’Ouest, où il est le numéro un dans les yaourts. L’entreprise dispose également « d’un modèle économique unique porté par un réseau de ventes de proximité et un circuit de distribution de plus de 31 000 vendeurs indépendants », explique le communiqué.
UNE ZONE PRIORITAIRE POUR LE GROUPE
Sur le continent africain, Danone était jusqu’alors présent uniquement en Afrique du Sud et au Maroc, pour les produits laitiers frais. Il est en revanche présent dans 33 pays africains, si l’on ajoute ses activités de nutrition infantile, où ses ventes ont progressé de 22 % l’an dernier. Avec 35 millions de naissances par an et plus d’un milliard d’habitants, l’Afrique fait partie des zones prioritaires de développement du groupe.
À la fin de l’année dernière, il a ainsi pris le contrôle de la Centrale laitière du Maroc (quatre usines, 60 % du marché marocain) en faisant passer sa participation de 30 % à 67 %. Dans les produits laitiers frais, ces ventes en Afrique du Sud, ont crû de 12 % l’an dernier par rapport à 2011. Mais depuis plusieurs années, les dirigeants du géant français de l’agroalimentaire cherchaient à investir en Afrique de l’Ouest.
UN CONTINENT QUI RENOUE AVEC CROISSANCE
Danone n’est pas le seul dans ce cas. Dans grands groupes, comme Orange par exemple, et des fonds d’investissements s’intéressent de plus en plus au continent noir. Le phénomène est nouveau. « Les perspectives économiques de l’Afrique subsaharienne sont positives avec un taux de croissance de 5,3 % en 2012 et 5,6 % en 2013, contre 5 % en moyenne avant la crise. Si l’on exclut l’Afrique du sud, le taux de croissance de la région devrait atteindre 6 % », souligne la Banque mondiale.

mercredi 11 septembre 2013

L’Afrique, grenier des investisseurs étrangers

Les investisseurs, surtout ceux qui proviennent des pays émergents, sont de plus en plus intéressés par l’Afrique, selon une étude du cabinet d’audit EY. La part des investissements directs étrangers dans le monde injecté dans le continent est passée de 3,2% en 2007 à 5,6% en 2012.


Une décennie auparavant, l’Afrique intéressait peu ou prou les investisseurs étrangers. Aujourd’hui, la donne a bien changé. Le continent, en pleine croissance économique contrairement à l’Europe qui est en récession, attire de plus en plus les investisseurs, surtout ceux issus des pays émergents, selon une étude du cabinet d’audit EY.
Selon le cabinet d’audit, la part des investissements directs étrangers (Ide) dans le monde, injectés dans le continent, est passée de 3,2% en 2007 à 5,6% en 2012, au cours des cinq dernières années. Les projets d’investissements directs étrangers en Afrique sub-saharienne ont augmenté de 22% depuis 2007.

L’Afrique du Sud, pays le plus attrayant
Bien que les investissements directs étrangers des pays développés en Afrique aient chuté de 20%, « cette baisse est compensée par ceux des marchés émergents qui ont une nouvelle fois augmenté en 2012, comme les trois années précédentes », explique le cabinet. Alors que les investissements direct étrangers en provenance du Royaume-Uni « ont augmenté de 9% par an, ceux injectés par les Etats-Unis et de la France, qui constituent les deux autres grands marchés développés investisseurs en Afrique, ont considérablement diminué », souligne EY.
Parmi les pays qui attirent le plus les investisseurs, l’Afrique du Sud. « Le secteur minier et des métaux est toujours perçu par les répondants à l’enquête comme celui présentant le plus grand potentiel de croissance en Afrique », indiquent les auteurs de l’enquête, suivi du Maroc, Nigeria, Egypte et Kenya. Les investissements de l’Inde, en forte concurrence avec la Chine pour prendre le plus de parts de marché dans le continent, ont augmenté de 21% au total. De même que l’investissement intra-africain a augmenté de 33%. En revanche, l’investissement en Afrique du nord a stagné.

Les infrastructures secteurs d’avenir
Quels sont les secteurs économiques qui attirent le plus les investisseurs ? Au moins 21% des répondants estiment que les infrastructures sont un secteur de croissance contre 14% l’année dernière et seulement 4% en 2011. Le secteur des technologie de l’information et de la communication a connu un véritable boom ces dernières années dans le continent. Et près de 14% des répondants contre 8% l’année dernière s’y intéressent pour investir. De même les services financiers, 13% contre 6% l’an dernier, et l’éducation, qui est passée de 0 à 10% cette année, attirent davantage les investisseurs.
Mais pour que de gigantesques projets voient le jour en Afrique et permettent le développement, il faudrait que le continent mette en « place des réformes économiques, politiques et sociales », note Stéphane Baller, associé responsable de l’activité Pays émergents d’EY. Si ces réformes sont mises en place par les gouvernants, « il est fort probable que plusieurs de ces économies suivent le même développement que certains des marchés asiatiques et autres marchés à croissance rapide au cours des 30 dernières années ».
Baller va plus loin dans son analyse. D’après lui, « d’ici les années 2040, nous sommes convaincus que des pays tels que le Nigeria, le Ghana, l’Angola, l’Égypte, l’Éthiopie et l’Afrique du Sud seront considérés comme des moteurs de croissance de l’économie mondiale ». De quoi redonner de l’espoir au continent, dont les dynamiques économiques sont de plus en plus visibles.

lundi 19 août 2013

Forum Africa


Dans le cadre de ses activités de soutien au développement des entreprises nationales, l'ANPGF  met à votre disposition une information qu'elle juge importante pour vous. 


Il s'agit du Forum Africa, un événement biennal organisé par Afrique Expansion et la Banque Africaine de Développement en collaboration avec l'African Business RoundTable (ABR).

L'objectif principal de ce Forum international est d'offrir des outils et approches novatrices pour accroître l'investissement privé en Afrique. 

Ce rendez-vous international des affaires prévu au Centre Sheraton Montréal du 25 au 27 septembre 2013 réunira des centaines de participants parmi lesquels des présidents de sociétés, des décideurs africains et canadiens de haut niveau, des intervenants des organisations internationales et des ONG.

Les précédents événements – Forum Africa 2003, 2005, 2007, 2009, 2011– avaient permis de regrouper plus de 500 décideurs des milieux des affaires, des officiels et des institutions internationales, offrant aux participants une excellente opportunité de nouer véritablement des partenariats d'affaires.

http://www.forumafricanada.com pour avoir plus de renseignements sur le forum et pour vous inscrire.

vendredi 2 août 2013

Mercredi de l'Entrepreneur du mois août 2013

Le prochain rendez-vous des Entrepreneurs, dans le cadre du "Mercredi de l'Entrepreneur" est proche. Ce sera le mercredi 07 août 2013, toujours à la Chambre de commerce et d'Industrie du Togo.

Vous avez besoin de financer votre projet?
Vous avez envie de développer votre entreprise?
Vous avez besoin de convaincre les investisseurs?

A la suite de la séance sur le plan d'affaires, un document très important dans la recherche de financement, l'ANPGF vous convie cette fois-ci à découvrir un élément central du Plan d'affaires que vous pouvez utiliser pour rassurer les investisseurs.

Thème: L'évaluation fiable du Chiffe d'Affaires: un élément central pour rassurer les investisseurs"

Ce thème vous permettra donc:
- de comprendre la valeur du chiffre d'affaires dans la stratégie de compétitivité de votre entreprise;
- de connaître les différentes composantes qui entrent dans la détermination du chiffre d'affaires;
- d'appréhender cette évaluation comme argument incontournable face aux investisseurs.

Ne manquez donc pas ce 7ème rendez-vous de l'année!

Mercredi 07 août 2013 à partir de 9 heures

Chambre de Commerce et d'Industrie du Togo


Orateur: Mme Délali APEDO-AMAH, directeur Associé de ADGES Business Development,une société basée à Paris, spécialisée en Stratégie d'Entreprise et en Ingénierie Financière.

mercredi 31 juillet 2013

QUESTION DE LA PRÉSENTATION DE L'ENTREPRISE A UN PROSPECT

-          "Faut-il présenter notre entreprise?"
-          "Faut-il la présenter détails?"
-          "A quel moment de l'entretien faut-il en parler?"

Trois questions qui sont régulièrement posées lors des stages de techniques de vente.
Première partie de la réponse : oui, il faut présenter votre entreprise; mais sans imposer cette présentation. Elle doit devenir naturellement, comme une réponse aux attentes du client.
Deuxième partie de la réponse : non, il ne faut pas la présenter en détails de la manière systématique.  Tout  n'intéresse pas le client, loin de là.
Ce qui l'intéresse, ce sont les caractéristiques de votre entreprise qui peuvent le rassurer, le conforter et lui être utiles.
Troisième partie de la réponse : une courte présentation (courte = 30 secondes) est possible en début d'entretien.
Mais cette présentation sera beaucoup plus efficace si elle est faite ponctuellement, notamment lors de la phase "Réponses aux objections" : les caractéristiques de votre entreprise, sélectionnées en fonction des motivations du client, deviendront alors de véritables points forts, des points d'appuis dans votre discours.
Rappelez-vous : le client s'intéresse presque uniquement à lui et à ses problèmes. C'est d'ailleurs compréhensible. Le reste est donc superflu.
Contentez-vous du temps de lui parler de ce qui va l'intéresser à coup sûr. Vous gagnerez du temps, de la fatigue et lui aussi.

Vous éviterez même des remarques sévères ou ironiques telles que celle-ci : je n'ai pas besoin de vos 200 villas,... j'ai mon appartement. Une maison en périphérique de Lomé, .... Je travaille au centre ville.

mercredi 24 juillet 2013

Cadeau: découvrez une technique pour augmenter vos ventes!

Vous voulez apprendre à convaincre pour augmenter vos ventes ?  
Si certains sont spontanément d'excellents commerciaux, la plupart des entrepreneurs ne savent pas quels leviers actionner pour persuader leurs futurs clients qu'ils sont des professionnels fiables et compétents.
Or, même si vous avez d'excellents produits ou services, votre chiffre d'affaires risque de rester au raz-des-pâquerettes si vous ne savez pas comment les vendre !
Pour vous aider, voici une méthode de vente très efficace, inspirée de la technique du "pied dans la porte", et qui peut se résumer ainsi : pour recevoir, il faut commencer par donner. 

Un petit exemple pour illustrer cette affirmation
David Strohmetz est un spécialiste du comportement. Avec son équipe, il a réalisé une expérience dans un restaurant pour savoir si le fait de donner un bonbon avec l'addition avait un réel impact sur le montant du pourboire laissé par le client.
Les résultats ont été significatifs !
·       -  Avec un bonbon, le pourboire laissé au serveur augmente en moyenne de 3,3 %.
·       -  Lorsqu'il y a deux bonbons avec l'addition, le montant est supérieur de 14,1% !
·      -   Mieux encore : après avoir laissé un suel bonbon, si le serveur s'éloigne puis revient donner un autre bonbon en disant à ses clients " pour vous qui êtes si sympathiques, voilà un bonbon en plus", la hausse atteint 23 % !
C'est ce que l'on appelle "le principe de réciprocité".
Ce qu'il faut retenir de cette expérience :
- c'est la manière dont le cadeau est offert qui compte, et non sa valeur
- offrez quelque chose de personnalisé
- il faut oser surprendre et jouer sur l'inattendu
Mais dans tous les cas : commencez par donner !


Vous aimez cet texte ? MERCI de partager avec vos amis!

vendredi 12 juillet 2013

Les atouts pour entreprendre au Togo

Les petites entreprises savent s'adapter, innover, et construire leur succès "à la togolaise" !

Durant ce mois de juillet, découvrez avec le Cabinet Synergie en association avec l'Association-Think tank, La SOURCE, comment et pourquoi vous avez tous les atouts en main pour réussir...et avoir un moral au beau fixe ! Au programme :

- les bonnes idées des entrepreneurs togolais pour développer votre entreprise
- les chiffres-clés du "Made in Togo" qui tordent le cou aux idées reçues : non, le "Made in Togo" n'est pas simplement un effet de mode !
- les conseils concrets et les retours d'expérience de chefs d'entreprise qui ont choisi de d'entreprendre au Togo : Compétitivité et Made in Togo : attention aux pièges !
- les témoignages de dirigeants de TPE qui utilisent les forces de notre pays pour valoriser leur savoir faire à l'étranger...

Bref, voilà de quoi booster votre motivation....et votre business !
Et si vous voulez apporter votre témoignage: philippe_awaga@yahoo.fr


Vous aimez cet article ? MERCI de le partager! 

mercredi 3 juillet 2013

Mercredi de l'Entrepreneur


Chers amis, tout doucement, nous nous approchons du prochain Mercredi de l'Entrepreneur. 
Notez bien les informations concernant ce rendez-vous et ne vous le faites pas conter.

Thème: "Financement des entreprises: Rôle et place des institutions financières "


Connaissez-vous l'importance des institutions financières dans la vie des entreprises?

Etes-vous informés du rôle des institutions financières dans le financement des entreprises?

Maîtrisez-vous les mécanismes mis en place par les institutions financières pour financer les entreprises?


La chance vous est offerte par la canal de l'ANPGF et de la CCIT ce 


Mercredi 10 juillet 2013 à partir de 9 heures!

Chambre de Commerce et d'Industrie du Togo


Pour en parler, le choix s'est porté sur M. Didier CORREA, Directeur Général Ecobank Togo

Entrée Gratuite!!!!!

Faites passer le message!

Elargir son horizon...

Pour assurer le développement de votre entreprise, même si vous exercez sur une zone géographique limitée, vous devez prospecter et trouver de nouveaux clients.
Or comment parvenir à améliorer la visibilité de votre entreprise pour présenter votre offre et trouver de nouveaux clients ?

Tout simplement en allant à la rencontre de vos clients là où ils se trouvent : sur le web et sur les réseaux sociaux.

samedi 15 juin 2013

NEW YORK FORUM AFRICA

L’ÉVÉNEMENT SE TIENT DU 14 au 16 JUIN À LIBREVILLE
PLUS DE 700 PARTICIPANTS ATTENDUS
SOLUTIONS INNOVANTES POUR SOUTENIR LE DÉVELOPPEMENT DU CONTINENT

Le New York Forum Africa a démarré ce vendredi dans la capitale gabonaise. L’événement, qui se poursuit jusqu’au 16 juin, se tient en marge du sommet de la CEMAC (Commission de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale) qui réunira les chefs d’Etat et les ministres des Finances des pays de l’institution régionale. La transparence des échanges, la gouvernance et la sécurité des personnes, l’entrepreneuriat, le rôle des femmes… sont autant de thématiques programmées lors du forum qui se veut une feuille de route à la veille du G8.

Organisé à l’initiative de Richard Attias & Associates et du Président Ali Bongo Ondimba, en collaboration avec le gouvernement du Gabon, le Forum accueille plus de 700 leaders internationaux, dont pas moins de six prix Nobel.

L’événement se veut donc le plus grand rassemblement de décideurs économiques, capitaines d’industries, jeunes entrepreneurs, fonds d’investissement, décideurs politiques, médias internationaux, experts et économistes, tous acteurs du développement économique africain et de ses défis.

Et les personnalités sont nombreuses: Frederik De Klerk, ancien chef de l’Etat sud-africain et prix Nobel 1993, Mohamed El Baradei, ancien DG de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) et prix Nobel 2005, Olusegun Obasandjo, ancien Président de la République fédérale du Nigéria, John Kufuor, ancien Président du Ghana, ou encore Spike Lee, célèbre réalisateur à succès.

Depuis sa création en 2010, le New York Forum s’intéresse particulièrement aux challenges économiques et financiers, les thèmes de cette année seront plus larges.  Les questions fondamentales, cette année, se situent autour de la capacité à concrétiser au niveau local, régional et continental. Nous aurons par ailleurs un regard particulier sur l’essor de la classe moyenne africaine, sur les jeunes et sur tous les domaines créateurs d’emploi sans oublier l’art et la culture», affirme Richard Attias, fondateur du New York Forum. 

Pour cette édition, un accent particulier est mis sur l’importance du tissu économique local africain, en particulier les PME qui représentent 90% du secteur privé à l’échelle continentale. Les débats porteront également sur la mise en évidence des acteurs de la nouvelle économie africaine (innovation technologique, industries du loisir, du cinéma et de la mode…) ainsi que la mise en place d’un partenariat avec les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud). Les objectifs du New York Forum Africa portent ainsi sur la reconnaissance des progrès économiques de l’Afrique ainsi que l’examen des opportunités pour les entreprises et les investisseurs. Comment mettre en place un plan d’action? Quelles sont les prochaines étapes à suivre? Telles sont les questions auxquelles le New York Forum Africa 2013 apportera des réponses afin de concrétiser ces opportunités.

Par ailleurs, ces dernières années ont été marquées par un changement de la perception du business en Afrique. Le potentiel du continent comme vivier de croissance est certes mis en avant, mais il ne faut pas perdre de vue que «l’Afrique est un continent et non un pays », selon les organisateurs du Forum. Il s’agit en fait d’un marché complexe, composé de 54 pays aux économies et aux défis divers.  Pour appréhender ces marchés, il va falloir cerner les spécificités locales.

A signaler qu’après près de 2 décennies de croissance économique soutenue dans l’Afrique subsaharienne (47 pays), le PIB de cette région est estimé aujourd’hui à 1,3 trillion de dollars. Six parmi les pays ayant enregistré la croissance la plus rapide au monde durant la dernière décennie sont issus de l’Afrique subsaharienne, dont l’économie est comparable à la Russie, l’Espagne, le Mexique ou la Corée du Sud. En 2008, alors que la crise frappait de plein fouet, la région subsaharienne enregistrait le meilleur taux de croissance au monde après la région Mena, soit 4,7% durant les 5 dernières années. Et cette tendance est appelée à se poursuivre durant les prochaines années, selon les spécialistes. Ce qui se traduit par une amélioration de la vie de millions d’africains, l’émergence d’une classe moyenne et l’amélioration de l’accès à des services dans les secteurs des Finances, de l’enseignement, de l’information et les télécoms.

vendredi 14 juin 2013

ETRE UN BON FOURNISSEUR, ETRE UN BON VENDEUR EN PÉRIODE DE CRISE

Une période de difficulté est une opportunité pour les petits challengers agiles.  
Quel type de fournisseur les entreprises choisissent-elles en période de crise ? Alors que l’heure est définitivement et durablement aux restrictions budgétaires, les grands fournisseurs vont-ils conserver leurs prés carrés ? C’est bien connu, en période d’opulence, au diable l’avarice. Mais qu’en est-il en période de crise ? N’est-ce pas le moment de passer en revue ses postes de dépenses -et donc ses fournisseurs-, et de choisir des alternatives aux solutions « traditionnelles »? Qui peut challenger les technologies établies ? Sans doute des structures plus légères, plus agiles, plus réactives et plus à l’écoute.
Quand il est impératif d’être réactif sur son marché, le choix se porte sur le fournisseur qui apporte le meilleur de la technologie, le plus rapidement, et avec de réels engagements de services. Avec leurs structures plus légères et leur proximité, les PME apportent cette agilité face aux « mastodontes » de l’industrie, et cela se répercute bien évidemment sur les coûts.
La chasse aux coûts superflus fait également la part belle à l’externalisation de ce qui n’est pas le cœur de métier, et là encore, les PME ont un rôle important à jouer. De nouveaux marchés s’ouvrent quand les approches traditionnelles échouent. Mais, lorsqu’une entreprise externalise un service auparavant exécuté par ses équipes, elle en attend la même qualité -au strict minimum-, avec, en plus, des idées neuves et une avance technologique certaine: bref, un véritable partenaire -plus une simple relation client/fournisseur- pour fournir un avantage concurrentiel et un service de qualité, à un coût moindre.
Qui mieux que des acteurs de taille modeste, à la pointe de la technologie, maîtrisant leurs coûts, flexibles, agiles et proches, peut amener un regard neuf et des réponses appropriées aux défis des crises?
A vos marques, prêts ? L’âge d’or des entreprises agiles est arrivé.

C'est le moment d'investir en Afrique

Alors que l'Europe est en récession et que l'Occident au complet est toujours aux prises avec les conséquences de la crise financière, l'Afrique a connu un taux de croissance de 5 % en 2012.
L'Afrique compte maintenant pour 2,5 % des échanges mondiaux. Le PIB du continent a doublé depuis 12 ans et il a maintenant dépassé le seuil symbolique des 1000 $ par habitant.

Ainsi, avec un milliard d'habitants dont les revenus augmentent, une économie qui se diversifie de plus en plus et des besoins de toutes sortes, l'Afrique est un immense marché où toute entreprise pourrait se tailler une plus grande place.

jeudi 13 juin 2013

Mercredis de l’Entrepreneur : L'ANPGF rend compétitifs les chefs d'entreprise

Pour la cinquième fois, les chefs d’entreprises ont répondu présents au rendez-vous mensuel que l’Agence Nationale de Promotion et de Garantie de Financement des PME/PMI (ANPGF) a pris avec eux avec le concept des « Mercredis de l’Entrepreneur ».

Ils étaient donc nombreux à prendre d’assaut la grande salle de la Chambre de Commerce et d’Industrie du Togo (CCIT) ce mercredi 12 juin 2013 pour la séance mensuelle de formation qu’organise l’ANPGF, en partenariat avec la CCIT.

Dans son mot de bienvenue, Mme Naka G. de SOUZA, Directeur Général de l’ANPGF, tout en remerciant les chefs d’entreprise pour leur présence, a souhaité que les échanges soient fructueux pour permettre aux entreprises de reconnaître les attitudes et les comportements qui les conduiraient à impacter positivement leurs structures.

Il revenait à M. Vincent KAVEGE, Business Development Manager, Directeur Général du Cabinet Update Concept, de développer le thème du « Mercredi de l’Entrepreneur » de ce mois de juin : « Les attitudes et les comportements d’un chef d’entreprise. Après avoir défini les termes « attitude » et « comportement » M. Kavege a expliqué la différence entre les deux mots avant de toucher du doigt le comportement idéal qu’un chef d’entreprise doit adopter dans la gestion quotidienne de son entreprise pour être compétitif et connaître le succès. Selon lui, « qu’on soit individu, entreprise ou pays, l’important pour survivre dans ce monde, c’est d’être plus compétitif que son voisin ».

Rappelons que l’ANPGF est une Agence créée par le Gouvernement et chargée de la promotion et du développement des PME/PMI. A cet effet, elle offre des services financiers (garantie et financement remboursable) et techniques aux entreprises nationales.


A bon entendeur !

Poursuivre la lecture avec des articles complémentaires: http://anpgf.org/anpgf_new/index.php

vendredi 7 juin 2013

Participez au Mercredi de l'Entrepreneur du mois de juin 2013


Voulez-vous devenir l'un de ceux qui ont compris et qui réussissent?
Voulez-vous compter parmi les rares personnes qui possèdent les clefs du succès?
Voulez-vous ne plus ignorer les comportements qui produisent des résultats positifs?
Voulez-vous connaître les stratégies qui vous font défaut pour réussir?

Participez au Mercredi de l'Entrepreneur du mois de juin 2013

Les Attitudes et les comportements d'un chef d'entreprise"

Mercredi 12 juin 2013 de 9 heures à 12 heures à la Chambre de Commerce et d'Industrie du Togo

Orateur: M. Vincent KAVEGE, Business Development Manager, Directeur Général de Update Concept

Lieu: Chambre de Commerce et d'Industrie du Togo

Les inscriptions sont ouvertes et gratuites. Envoyez un mail réponse ou appelez.
Infoline : 22 51 53 00 / 22 21 70 65

jeudi 6 juin 2013

Idée d'ailleurs : Fundme

1er annuaire online des startups françaises qui cherchent des fonds.
Fundme.fr agrège les startups issues des meilleures structures de sélection et/ou d'accompagnement d'entrepreneurs (incubateurs, pépinières, Réseau Entreprendre, Jury média, associations de Business Angels, fonds d'amorçage/d'investissement...), et propose cette base de données à des investisseurs privés, Business Angels potentiels.

Pour en savoir plus : http://fundme.fr/fr/

mercredi 29 mai 2013

Idée de PUB à petit budget

Je propose une idée que j’ai proposée à une pizzeria rapide.
La personne venait d’ouvrir son entreprise et n’avait pas trop de budget.
Il lui fallait se faire connaître à moindre coût.
Je lui ai demandé de faire un tour pour mieux connaitre le quartier.
(c’est plus facile avec une carte mais bon...)
Dans le quartier on a relevé toutes les rues. Il y en avait 7.
On a recherché toutes les personnes qui avaient un téléphone dans ces rues et on a relevé les noms et les numéros.
On a fait des petits billets et chaque soir on tirait 5 personnes pendant 1 semaine.
On leur téléphonait et on leur offrait 2 pizzas pour l’ouverture de leur pizzeria qu’on leur livrait.
Sur place, on leur donnait des menus.
On a fait plusieurs quartiers sur les 3 premiers mois.
Résultat, même dans une rue non passante, la pizzeria vendait en moyenne 30 pizzas dans la soirée.
Au bout de six mois elle a embauché 5 personnes.
Qu’en pensez-vous ?

jeudi 23 mai 2013

L'ANPGF accompagne les porteurs de projets et les chefs d'entreprises : Mercredi de l'Entrepreneur du mois de mai


Ils étaient plusieurs centaines à prendre part, hier mercredi 22 mai 2013 à la quatrième édition des « Mercredis de l’Entrepreneur » organisé par l’Agence Nationale de Promotion et de Garantie de Financement des PME/PMI (ANPGF) à la Chambre de Commerce et d’Industrie du Togo (CCIT).
Destinée aux opérateurs économiques, aux porteurs de projets, aux chefs d’entreprises, aux jeunes désireux d’entreprendre, cette matinée de formation et d’information s’est déroulée autour du thème : « Techniques de montage d’un dossier de crédit bancaire : le plan d’affaire ». Ainsi donc, pendant ces quelques heures, avec M. Victor N’Souwodji EHE, Consultant banque, finance et stratégie, Ex Directeur de banque, notamment l’UTB, Directeur Général du cabinet Impact Conseil, les participants ont touché du doigt l’intérêt et la méthodologie d’approche du plan d’affaire, vu les composantes du dossier de recherche de crédit. Sur la base des exemples pratiques, ils ont eu l’idée sur les techniques d’élaboration du business plan, un document hautement important dans le processus de recherche de crédit auprès des institutions financières telles que l’ANPGF pour la réalisation des projets. L’ANPGF entend par ce nouveau concept tirer des avantages non négligeables : avoir des interlocuteurs bien formés à mieux gérer leurs structures.
Reste aux participants de faire bon usage des informations qu’ils auraient reçues au cours de ces « Mercredis de l’Entrepreneur ». 

Poursuivre la lecture avec des articles complémentaires : http://anpgf.org/anpgf_new/index.php

mardi 21 mai 2013

Mercredi de l'Entrepreneur du mois de mai : J-1


·         Vous êtes jeunes,  étudiants, travailleurs, artisans, opérateurs économiques, 
·         Vous rêvez de lancer et réussir votre projet ou votre propre  entreprise,
·         Vous souhaitez obtenir un financement auprès d’une institution financière, d’une banque pour votre projet ou votre entreprise,
·         Vous souhaitez avoir en main le plan d’affaire ou l’étude de faisabilité  de votre projet 
·         Vous aimerez avoir les conseils utiles  pour mieux présenter votre plan d’affaires aux banquiers,
·         Vous voulez discuter avec des spécialistes de la question,

Participez au Mercredi de l'Entrepreneur du mois de mai 2013
’TECHNIQUES DE MONTAGE D'UN DOSSIER DE DEMANDE DE CRÉDIT BANCAIRE : LE PLAN D'AFFAIRE .’’

Demain, Mercredi 22 Mai 2013 de 9 heures à 12 heures à la Chambre de Commerce et d'Industrie du Togo

   ORATEUR  : M. Victor EHE, Ex Directeur de banque, Ancien Ministre du Commerce et des Transports, Directeur Général du Cabinet Impact Conseil 

Lieu: Chambre de Commerce et d'Industrie du Togo 
Les inscriptions sont gratuites et continuent  !!!!!!!!!!!!!!!
Jeunes Porteurs de Projets, artisans, Dirigeants de PME votre plan d’affaire en main et votre financement en poche.

RENDEZ-VOUS DONC DEMAIN A LA CHAMBRE DE COMMERCE