samedi 15 juin 2013

NEW YORK FORUM AFRICA

L’ÉVÉNEMENT SE TIENT DU 14 au 16 JUIN À LIBREVILLE
PLUS DE 700 PARTICIPANTS ATTENDUS
SOLUTIONS INNOVANTES POUR SOUTENIR LE DÉVELOPPEMENT DU CONTINENT

Le New York Forum Africa a démarré ce vendredi dans la capitale gabonaise. L’événement, qui se poursuit jusqu’au 16 juin, se tient en marge du sommet de la CEMAC (Commission de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale) qui réunira les chefs d’Etat et les ministres des Finances des pays de l’institution régionale. La transparence des échanges, la gouvernance et la sécurité des personnes, l’entrepreneuriat, le rôle des femmes… sont autant de thématiques programmées lors du forum qui se veut une feuille de route à la veille du G8.

Organisé à l’initiative de Richard Attias & Associates et du Président Ali Bongo Ondimba, en collaboration avec le gouvernement du Gabon, le Forum accueille plus de 700 leaders internationaux, dont pas moins de six prix Nobel.

L’événement se veut donc le plus grand rassemblement de décideurs économiques, capitaines d’industries, jeunes entrepreneurs, fonds d’investissement, décideurs politiques, médias internationaux, experts et économistes, tous acteurs du développement économique africain et de ses défis.

Et les personnalités sont nombreuses: Frederik De Klerk, ancien chef de l’Etat sud-africain et prix Nobel 1993, Mohamed El Baradei, ancien DG de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) et prix Nobel 2005, Olusegun Obasandjo, ancien Président de la République fédérale du Nigéria, John Kufuor, ancien Président du Ghana, ou encore Spike Lee, célèbre réalisateur à succès.

Depuis sa création en 2010, le New York Forum s’intéresse particulièrement aux challenges économiques et financiers, les thèmes de cette année seront plus larges.  Les questions fondamentales, cette année, se situent autour de la capacité à concrétiser au niveau local, régional et continental. Nous aurons par ailleurs un regard particulier sur l’essor de la classe moyenne africaine, sur les jeunes et sur tous les domaines créateurs d’emploi sans oublier l’art et la culture», affirme Richard Attias, fondateur du New York Forum. 

Pour cette édition, un accent particulier est mis sur l’importance du tissu économique local africain, en particulier les PME qui représentent 90% du secteur privé à l’échelle continentale. Les débats porteront également sur la mise en évidence des acteurs de la nouvelle économie africaine (innovation technologique, industries du loisir, du cinéma et de la mode…) ainsi que la mise en place d’un partenariat avec les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud). Les objectifs du New York Forum Africa portent ainsi sur la reconnaissance des progrès économiques de l’Afrique ainsi que l’examen des opportunités pour les entreprises et les investisseurs. Comment mettre en place un plan d’action? Quelles sont les prochaines étapes à suivre? Telles sont les questions auxquelles le New York Forum Africa 2013 apportera des réponses afin de concrétiser ces opportunités.

Par ailleurs, ces dernières années ont été marquées par un changement de la perception du business en Afrique. Le potentiel du continent comme vivier de croissance est certes mis en avant, mais il ne faut pas perdre de vue que «l’Afrique est un continent et non un pays », selon les organisateurs du Forum. Il s’agit en fait d’un marché complexe, composé de 54 pays aux économies et aux défis divers.  Pour appréhender ces marchés, il va falloir cerner les spécificités locales.

A signaler qu’après près de 2 décennies de croissance économique soutenue dans l’Afrique subsaharienne (47 pays), le PIB de cette région est estimé aujourd’hui à 1,3 trillion de dollars. Six parmi les pays ayant enregistré la croissance la plus rapide au monde durant la dernière décennie sont issus de l’Afrique subsaharienne, dont l’économie est comparable à la Russie, l’Espagne, le Mexique ou la Corée du Sud. En 2008, alors que la crise frappait de plein fouet, la région subsaharienne enregistrait le meilleur taux de croissance au monde après la région Mena, soit 4,7% durant les 5 dernières années. Et cette tendance est appelée à se poursuivre durant les prochaines années, selon les spécialistes. Ce qui se traduit par une amélioration de la vie de millions d’africains, l’émergence d’une classe moyenne et l’amélioration de l’accès à des services dans les secteurs des Finances, de l’enseignement, de l’information et les télécoms.

vendredi 14 juin 2013

ETRE UN BON FOURNISSEUR, ETRE UN BON VENDEUR EN PÉRIODE DE CRISE

Une période de difficulté est une opportunité pour les petits challengers agiles.  
Quel type de fournisseur les entreprises choisissent-elles en période de crise ? Alors que l’heure est définitivement et durablement aux restrictions budgétaires, les grands fournisseurs vont-ils conserver leurs prés carrés ? C’est bien connu, en période d’opulence, au diable l’avarice. Mais qu’en est-il en période de crise ? N’est-ce pas le moment de passer en revue ses postes de dépenses -et donc ses fournisseurs-, et de choisir des alternatives aux solutions « traditionnelles »? Qui peut challenger les technologies établies ? Sans doute des structures plus légères, plus agiles, plus réactives et plus à l’écoute.
Quand il est impératif d’être réactif sur son marché, le choix se porte sur le fournisseur qui apporte le meilleur de la technologie, le plus rapidement, et avec de réels engagements de services. Avec leurs structures plus légères et leur proximité, les PME apportent cette agilité face aux « mastodontes » de l’industrie, et cela se répercute bien évidemment sur les coûts.
La chasse aux coûts superflus fait également la part belle à l’externalisation de ce qui n’est pas le cœur de métier, et là encore, les PME ont un rôle important à jouer. De nouveaux marchés s’ouvrent quand les approches traditionnelles échouent. Mais, lorsqu’une entreprise externalise un service auparavant exécuté par ses équipes, elle en attend la même qualité -au strict minimum-, avec, en plus, des idées neuves et une avance technologique certaine: bref, un véritable partenaire -plus une simple relation client/fournisseur- pour fournir un avantage concurrentiel et un service de qualité, à un coût moindre.
Qui mieux que des acteurs de taille modeste, à la pointe de la technologie, maîtrisant leurs coûts, flexibles, agiles et proches, peut amener un regard neuf et des réponses appropriées aux défis des crises?
A vos marques, prêts ? L’âge d’or des entreprises agiles est arrivé.

C'est le moment d'investir en Afrique

Alors que l'Europe est en récession et que l'Occident au complet est toujours aux prises avec les conséquences de la crise financière, l'Afrique a connu un taux de croissance de 5 % en 2012.
L'Afrique compte maintenant pour 2,5 % des échanges mondiaux. Le PIB du continent a doublé depuis 12 ans et il a maintenant dépassé le seuil symbolique des 1000 $ par habitant.

Ainsi, avec un milliard d'habitants dont les revenus augmentent, une économie qui se diversifie de plus en plus et des besoins de toutes sortes, l'Afrique est un immense marché où toute entreprise pourrait se tailler une plus grande place.

jeudi 13 juin 2013

Mercredis de l’Entrepreneur : L'ANPGF rend compétitifs les chefs d'entreprise

Pour la cinquième fois, les chefs d’entreprises ont répondu présents au rendez-vous mensuel que l’Agence Nationale de Promotion et de Garantie de Financement des PME/PMI (ANPGF) a pris avec eux avec le concept des « Mercredis de l’Entrepreneur ».

Ils étaient donc nombreux à prendre d’assaut la grande salle de la Chambre de Commerce et d’Industrie du Togo (CCIT) ce mercredi 12 juin 2013 pour la séance mensuelle de formation qu’organise l’ANPGF, en partenariat avec la CCIT.

Dans son mot de bienvenue, Mme Naka G. de SOUZA, Directeur Général de l’ANPGF, tout en remerciant les chefs d’entreprise pour leur présence, a souhaité que les échanges soient fructueux pour permettre aux entreprises de reconnaître les attitudes et les comportements qui les conduiraient à impacter positivement leurs structures.

Il revenait à M. Vincent KAVEGE, Business Development Manager, Directeur Général du Cabinet Update Concept, de développer le thème du « Mercredi de l’Entrepreneur » de ce mois de juin : « Les attitudes et les comportements d’un chef d’entreprise. Après avoir défini les termes « attitude » et « comportement » M. Kavege a expliqué la différence entre les deux mots avant de toucher du doigt le comportement idéal qu’un chef d’entreprise doit adopter dans la gestion quotidienne de son entreprise pour être compétitif et connaître le succès. Selon lui, « qu’on soit individu, entreprise ou pays, l’important pour survivre dans ce monde, c’est d’être plus compétitif que son voisin ».

Rappelons que l’ANPGF est une Agence créée par le Gouvernement et chargée de la promotion et du développement des PME/PMI. A cet effet, elle offre des services financiers (garantie et financement remboursable) et techniques aux entreprises nationales.


A bon entendeur !

Poursuivre la lecture avec des articles complémentaires: http://anpgf.org/anpgf_new/index.php

vendredi 7 juin 2013

Participez au Mercredi de l'Entrepreneur du mois de juin 2013


Voulez-vous devenir l'un de ceux qui ont compris et qui réussissent?
Voulez-vous compter parmi les rares personnes qui possèdent les clefs du succès?
Voulez-vous ne plus ignorer les comportements qui produisent des résultats positifs?
Voulez-vous connaître les stratégies qui vous font défaut pour réussir?

Participez au Mercredi de l'Entrepreneur du mois de juin 2013

Les Attitudes et les comportements d'un chef d'entreprise"

Mercredi 12 juin 2013 de 9 heures à 12 heures à la Chambre de Commerce et d'Industrie du Togo

Orateur: M. Vincent KAVEGE, Business Development Manager, Directeur Général de Update Concept

Lieu: Chambre de Commerce et d'Industrie du Togo

Les inscriptions sont ouvertes et gratuites. Envoyez un mail réponse ou appelez.
Infoline : 22 51 53 00 / 22 21 70 65

jeudi 6 juin 2013

Idée d'ailleurs : Fundme

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