mercredi 27 mars 2013

Entrepreneur : les 5 phrases à retenir lors de coups durs


Il faut être un peu fou pour créer son entreprise. Une évidence dont vous allez vite vous rendre compte. Ces 5 citations n’ont qu’un seul but : vous remotiver.

Entre le business-model à adopter, les clients à dégotter, les salariés à manager, la pente pour atteindre l’Everest semble douce à côté des objectifs quotidiens du chef d’entreprise. À tel point d’ailleurs que certains souffrent, plient l’échine, voire abandonnent la carrière d’entrepreneur pour retourner dans le salariat. Et pourtant, que la vie est belle sous le ciel de l’entrepreneuriat. La preuve en 5 citations.

« La création d’entreprise est probablement l’une des formes les plus élaborées des dernières grandes aventures modernes. »

Bernard Maître, ancien-capital risqueur français
Eh oui, quand on y repense, à quoi ressemble les grands aventuriers de notre temps, si ce n’est à des entrepreneurs : Steve Jobs, Xavier Niel, Bill Gates, pour ne citer que les plus connus. Tous ont le point commun d’avoir ébranlé un ordre existant. Un pouvoir que les politiques, hormis quelques dirigeants de superpuissance, ne possèdent plus.

« Le caractère d’un homme fait son destin ».

Démocrite, philosophe grec
Parce qu’il faut savoir encaisser, parce qu’il faut apprendre à surmonter l’adversité, l’entrepreneur doit forger son âme au contact des réalités, parfois bien éloignées de tout ce qu’il avait pu imaginer. De toute façon, le ou la dirigeante ne pourra en ressortir que grandi. Et puis, comme l’a dit une fois la Dame de fer :

« Vous pouvez avoir à livrer la même bataille plus d’une fois pour la gagner »

Margaret Thatcher. Ancienne première ministre
Une phrase que tous les entrepreneurs inventeurs ont éprouvé. Imagine-t-on James Dyson abandonner, après un énième échec lors d’une phase de test ? Aurait-on l’audace de voir Eugène Schueller, fondateur de L’Oréal, se lamenter après des ventes décevantes ? Sûrement pas. Alors, il faut y croire. D’autant que…

« Lorsqu’une porte se ferme, il y en a toujours une qui s’ouvre. Malheureusement, nous perdons tellement de temps à contempler la porte fermée, que nous ne voyons pas celle qui vient de s’ouvrir ».

Alexander Graham Bell, entrepreneur américain d’origine écossaise et inventeur du téléphone.
Comment faire pour arriver à voir cette porte ouverte ? En retirant tout sentiment à la vue d’un problème. Ainsi, dégagé de toutes ces implications émotionnelles, l’entrepreneur va pouvoir scruter la problématique sous toutes ces formes. Pas facile, mais indispensable.

«Le grand art, c’est de changer pendant la bataille. Malheur au général qui arrive au combat avec un système. »

Napoléon 1er, Empereur français
Au-delà du conseil de général en chef, comprenez qu’il est toujours possible de sortir d’une situation délicate, à la condition bien entendu de pouvoir faire évoluer sa stratégie en fonction de ses nouvelles ambitions.
En clair, il faut toujours y croire.

jeudi 21 mars 2013

Projet de création d'entreprise de .... A à Z


Vous avez enfin trouvé une idée d'entreprise et vous envisagez de vous lancer ? Avant de franchir le cap de la création, assurez-vous de ne pas négliger certains éléments fondamentaux. 
Deux des questions qui reviennent souvent sur le forum chez les porteurs de projets sont  :

1) "Quel statut juridique choisir pour mon entreprise ?"
2) "Comment trouver des clients ?"

Ces questions sont pertinentes et intéressantes...à condition de se les poser au bon moment.
Dès la conception de votre projet d'entreprise, il va vous falloir raisonner comme un entrepreneur et adopter le bon timing. Avant de créer votre activité, assurez-vous d'avoir suffisamment pris le temps de réfléchir à l'ensemble de votre projet :

®     quelle va être votre positionnement ? (haut de gamme, discount....)
®     quelle est votre cible et quelles sont ces habitudes ?
®     quelles sont les qualifications, les obligations légales, la réglementation sur ce secteur d'activité ?
®     qui sont vos concurrents ?
®     quelle valeur ajoutée allez-vous apporter sur ce marché ? Comment allez-vous vous démarquer ?
®     est-il préférable de créer une structure totalement indépendante ou au contraire de vous lancer en franchise (pour bénéficier d'une marque et d'outils éprouvés) ?
®     quel est votre personnalité, quelles sont vos motivations dans ce projet de création ? 
®     combien cela va t-il coûter réellement en incluant les assurances, les frais liés à la publicité et à la promotion de votre activité, les frais que vous aurez à assumer en parallèle (votre loyer, vos frais personnels...)
®     au bout de combien de temps prévoyez-vous d'atteindre la rentabilité ?
®     avez-vous un patrimoine/une famille à protéger ?
®     ...
Progressivement, votre projet va se construire sur des bases fiables et il aura de bien meilleures chances de réussite !
Pour apporter un éclairage sur une opportunité de création d'entreprise trop souvent méconnue, Le Cabinet SYNERGIE propose des rencontres individuelles pour "Créer son entreprise " sur toute l'année 2013.  Ne manquez pas les dossiers, les conseils, et les retours d'expérience sur la création d'entreprise.

SYNERGIE, au numéro direct: 22 36 37 00

mardi 19 mars 2013

Bien préparer sa création d'entreprise


L'étude de marché occupe une place primordiale dans la création d'entreprise
75 % des échecs de création d'entreprises sont dus à une mauvaise préparation du projet commercial. En quoi l'étude de marché est une étape primordiale avant de créer son entreprise?
Le but est de tester le potentiel du marché avant de démarrer. C'est incontournable. Quand on a une idée en tête, on est tous persuadé que ça va fonctionner, que l'idée est bonne. Mais ce n'est pas forcément pour autant qu'elle est rentable. C'est trop dangereux de se lancer sans tester. L'étude de marché permet de savoir qui sont les consommateurs, les concurrents. L'entrepreneur pourra ainsi calculer son chiffre d'affaires potentiel.
Par où commencer quand on est un petit entrepreneur ?
La première partie consiste à faire une étude documentaire. S'informer sur le marché avec une vision macro-économique. C'est-à-dire se renseigner sur la démographie du lieu où l'on veut s'implanter, observer si la population existante est bien celle qu'on veut toucher... Si on est les seuls à avoir eu une idée pour un territoire donné il faut aussi se poser la question du pourquoi. Après cette étape, il faut effectuer une étude du terrain. En allant à la rencontre des gens. Dans la rue, par mail ou par téléphone. Le tout est d'éviter de s'adresser à des gens de son entourage. Il ne faut avoir aucun a priori. Enfin, la troisième étape permet de faire l'analyse de tout cela.
L'étude de marché représente un budget important ?
C'est très variable mais on peut dire que l'entrepreneur doit compter entre 200 000 FCFA et 500 000 FCFA. Ca peut représenter un investissement lourd pour quelqu'un qui veut se lancer. Mais créer son entreprise sans étude de marché c'est aussi risquer un échec et risquer de perdre une partie de son patrimoine. Un petit entrepreneur peut trouver des solutions pour payer moins cher son étude de marché. Comme confier l'étude de terrain à des étudiants. Ca coûte environ 50 000 FCFA à 100 000 FCFA. La Chambre de Commerce peut aussi vous aider.
Une réelle première étape avant de se lancer ?
Il est clair que peu importe la situation, il faut faire une étude de marché ! Ca permet de déterminer la stratégie de l'entreprise. C'est ce qui fera la différence face aux concurrents, son signe particulier. Ce ne sera jamais une perte de temps, ni d'argent.

lundi 18 mars 2013

Le plus grand salon turque en Afrique

CEDEAO L'EXPO DE PRODUITS D’EXPORTATION TURQUE
Vous êtes cordialement invités à participer à la plus grande foire commerciale turque en Afrique pour trouver meilleures alternatives d approvisionnement. 87 entreprises turques et les investisseurs présentent leur haute qualité et à prix concurrentiel des produits pour vous aider à augmenter votre rentabilité. Il est temps de rencontrer des partenaires fiables de la Turquie pour votre entreprise et les projets d investissement.


L'expo de Produits d’exportation Cedeao Turque est l'un des trois aspects du Sommet de la CEDEAO coopération Turkiye qui aura lieu à Lagos, au Nigeria entre 26 et 28 Mars, 2013. Les deux autres aspects importants sont le sommet de la Cedeao Turkiye Sommet ministériel, dans lequel les ministres de urkiye et les pays membres de la CEDEAO sont attendus pour participer, et les possibilités d'investissement des séminaires où les entreprises membres de la CEDEAO vont promouvoir les opportunités d'affaires et d'investissement. Il y aura 110 stands réservés par 87 grands fabricants turcs dans les aliments, achinerie, de mobilier, produits de consommation, produits durables, produits de nettoyage, produits chimiques et matériaux de construction. Chaque pays membre de la CEDEAO sera également fourni un stand pour la promotion des opportunités d'affaires et investement vers exposants turcs et autres isiteurs. Expositions Produits d'exportation turcs normalement cibler un seul pays. CEDEAO Expo est organisé dans une perspective régionale et de la première exposition à cet égard.
Pourquoi participer?
Rencontrez les meilleurs et les plus fiables gens d'affaires turcs Le plus grand salon turc organisé en Afrique Entrez en contact avec les fabricants turcs Rencontrez avec d'excellents produits à des produits incroyablement compétitifs Atteindre les produits de haute qualité sans intermédiaire Possibilité de ecevoir franchise et concession des fabricants turcs Augmentez votre rentabilité en réduisant les coûts d'achat Possibilité de rencontrer awec les investisseurs turcs.


March 26 - March 28, 2013 
Eko Hotels Lagos, Nijeria

Plus d'informations : http://www.ecowasexpo.com/?

samedi 16 mars 2013

Rappel : Mercredi de l'Entrepreneur


L'Agence Nationale de Promotion et de Garantie de Financement des entreprises (ANPGF) vous invite de nouveau au Mercredi de l'Entrepreneur de ce mois de mars.

Cette fois-ci, l'occasion vous sera donnée de connaître les innovations majeures intervenues dans la loi de finances 2013 de notre pays, comme annoncé le 06 février dernier.

Alors rendez-vous de nouveau à la Chambre de Commerce et d'Industrie du Togo le mercredi 20 mars 2013 à partir de 09 heures 30.

Entrée toujours gratuite!

Renseignement : 22 53 51 00

Opportunité de Coaching : Vous confirmez la valeur de votre idée de création d'entreprise, Synergie vous accompagne



Vous souhaitez concrétiser votre projet d'entreprise en testant votre idée dès le début de votre réflexion. Les Consultants du Cabinet Synergie vous conseillent sur tous les aspects techniques pour mesurer sa viabilité économique : business plan, finalisation des partenariats, préparation de l’immatriculation…
Que vous soyez artisan, que vous ayez un projet innovant, que vous souhaitiez tester votre projet, trouvez le meilleur contact.
Les consultants de Synergie au : 90711134
Plus d'informations: http://www.conseilsynergie.com/

lundi 11 mars 2013

Silicon Valley : le Ghana veut lui aussi se doter de sa "Tech city"

Silicon Valley (« Vallée du silicium », et non pas du silicone) désigne le pôle des industries de pointe situé dans la partie sud de la Région de la baie de San Francisco en Californie, sur la côte ouest aux États-Unis. Même si cette région n'est pas une vallée à proprement parler, l'expression désigne souvent par métonymie l'industrie des technologies de pointe en général. La ville de San José est la plus grande ville de Silicon Valley. En anglais, l'expression « Silicon Valley » n'est généralement pas précédée d'un article. On parle d'ailleurs plus simplement de "The Valley". La Silicon Valley a inspiré bon nombre de technopoles en Europe et inspire le Ghana qui veut lui aussi se doter de sa "Tech city" .



Le Ghana a commencé la construction d'une cité technologique de classe mondiale d'un coût de 10 milliards de dollars avec pour objectif de rassembler tous les acteurs du secteur des technologies sous un même toit d’ici à trois ans.

Ce projet de six tours, connu sous le nom de « City of Hope », sera le plus haut bâtiment d'Afrique avec une hauteur prévue de 270 mètres. L'idée en a été lancée par une entreprise local de technologie, RLG Communications, selon qui cette construction futuriste doit à terme abriter plus de 25 000 personnes et devrait permettre de créer plus de 50 000 emplois lorsqu’elle sera terminé, d'ici à trois ans. D'un coût évalué à 10 milliards de dollars, cette ville dans la ville abritera également une usine d'assemblage de matériel informatique, des centres de formation aux nouvelles technologies, des banques, des commerces, des centres de loisir, des salles de sport ainsi que des services médicaux et éducatifs.

Secteur privé

City of Hope est en cours de construction à Kasoa une banlieue d'Accra. S'exprimant au moment du lancement des travaux, le président John Mahama Dramani a expliqué qu'il était temps que le secteur privé soit le fer de lance de la création d'emplois au Ghana. Il a promis le soutien du gouvernement au secteur privé, y compris à RLG, de manière à impulser des partenariats public-privé et créer plus d'emplois. Le Kenya vient lui aussi de lancer sa propre initiative destinée à encourager le développement des nouvelles technologies, Konza City, déjà surnommée Silicon Savannah. La Tanzanie veut lancer Rhapta City, tandis que le Rwanda et l'Ouganda étudieraient des projets similaires.
RLG a récemment signé un accord de partenariat avec Microsoft pour rendre les logiciels Windows de la société américaine plus abordables en Afrique de l'Ouest. Ce partenariat permettra notamment à RLG de lancer Microsoft Windows 8. L’entreprise produit des équipements de communication tels que les téléphones mobiles, des ordinateurs portables, des tablettes électroniques et des écrans LCD. Elle possède des bureaux en Chine, au Nigeria et en Gambie.


samedi 9 mars 2013

Mercredi de l'Entrepreneur


L'Agence Nationale de Promotion et de Garantie de Financement des entreprises (ANPGF) vous invite de nouveau au Mercredi de l'Entrepreneur de ce mois de mars.

Cette fois-ci, l'occasion vous sera donnée de connaître les innovations majeures intervenues dans la loi de finances 2013 de notre pays, comme annoncé le 06 février dernier.

Alors rendez-vous de nouveau à la Chambre de Commerce et d'Industrie du Togo le mercredi 20 mars 2013 à partir de 09 heures 30.

Entrée toujours gratuite!

Renseignement : 22 53 51 00

mercredi 6 mars 2013

"Le secteur agroalimentaire africains pourraient générer un marché de 1.000 milliards de dollars à l’horizon 2030" Makhtar Diop



Les pays africains peuvent exploiter les marchés en plein essor du riz, du maïs, du soja, de l’huile de palme, des biocarburants ainsi que des matières biologiques et s’imposer parmi les principaux exportateurs de ces marchandises sur les marchés mondiaux, à l’instar des réussites de l’Amérique latine et de l’Asie du Sud-Est. Concernant l’Afrique subsaharienne, les secteurs les plus dynamiques sont probablement le riz, les céréales fourragères, les volailles, les produits laitiers, les huiles végétales, l’horticulture et les aliments transformés pour approvisionner les marchés nationaux. 

L’agro industrie, priorité des priorités

L’UA, la BAD et la BM accordent plus d’importance à l’agro industrie. De même, l’ordre du jour du G20 agricole contient l’agro industrie. Mais les Etats doivent jouer un rôle capital et le Gouvernement doivent mettre un accent particulier sur le secteur privé et le développement des chaines de valeur.
Pour cela, il faut relier les petits exploitants aux marchés. On peut donc regrouper les petits exploitants pour qu’ils deviennent les exploitants de taille moyenne. Ils ont aussi insisté sur la recherche et le développement, sans oublier la coopération Sud-Sud.

Le moment est venu de faire de l’agriculture et du secteur agro-alimentaire africains un catalyseur pour mettre fin à la pauvreté.

Pour plus d'informations :


Le financement participatif arrive en Afrique


Les start-ups africaines ont peu accès au crédit bancaire. SliceBiz, qui vient de gagner le concours Apps4Africa, propose un système de crowdfunding incluant des micro-investisseurs, via web et téléphone mobile.
Un système innovant de financement participatif par mobile et par le Web vient de réussir son propre financement. Il vise à aider les start-ups africaines et à attirer les investisseurs des classes moyennes, et pas seulement les riches.
SliceBiz a été un des trois gagnants (10.000 dollars chacun) du concours d’entreprises Apps4Africa, une compétition financée par le département d’Etat (les Affaires étrangères) des Etats-Unis et la Banque mondiale. Ce concours offre à des innovateurs africains des récompenses en argent pour développer des solutions technologiques à des problèmes locaux.
Entreprise basée au Ghana, SliceBiz cherche à importer en Afrique l’idée des sites populaires de financement participatif, comme Kickstarter et Indiegogo, mais avec une modification. Comme l’explique la BBC, les entrepreneurs fourniront des présentations vidéo de 30 secondes aux investisseurs potentiels. Les investisseurs pourront leur donner entre 250 et 100.000 dollars, et des sommes plus petites pourront être données par téléphone mobile. En outre, les investisseurs recevront une participation dans l’entreprise.
« Les start-ups et les PME constituent à bien des égards la colonne vertébrale de l’économie africaine, mais elles continuent pourtant à affronter des défis, dont un des principaux est l’accès à la finance », expose SliceBiz sur son site web. « Des milliers de jeunes fondateurs de start-ups africaines ne peuvent pas accéder aux crédits des banques et d’autres institutions financières. Sans cette très recherchée injection de capital, la courbe de croissance de la plupart des jeunes pousses est lente et plate. »
Les deux autres gagnants du concours étaient Ffene (Ouganda), une plateforme de gestion à bas coût, et Prowork (Nigeria), une entreprise qui fournit des solutions mobiles de collaboration d’entreprise.
C’est la troisième année qu’pps4Africa distribue des fonds à des entreprises innovantes. Les lauréats précédents sont présentés ici.


lundi 4 mars 2013

Croissance de l'Afrique: libérer le potentiel du secteur agroalimentaire

Participez à cet événement en direct le lundi 4 mars, 2013, en cliquant sur ce lien :http://www.livestream.com/worldbankafrica

Heure: 9h30 à 10h30 am (heure de Washington, DC) ou 1h30 à 2H30 pm (UTC)

Le 4 mars, participez à une discussion en ligne en compagnie de Makhtar Diop, vice-président de la Banque mondiale pour la région Afrique, James Karanja, président de Freshco Seeds au Kenya et de participants localisés dans six capitales africaines à l’occasion du lancement d’un nouveau rapport de la Banque mondiale intitulé «Growing Africa : Unlocking the Potential of Agribusiness ». Ils débattront de la meilleure façon de développer l’industrie agroalimentaire afin de créer des opportunités pour tous les Africains. 

vendredi 1 mars 2013

Entreprises & Marchés : La machine Afrique de Bolloré


Depuis dix ans, Bolloré concentre plus de la moitié de ses investissements en Afrique. Objectif : maîtriser les différents maillons de la chaîne du transport jusqu'au cœur du continent en pleine expansion.

Les chiffres clefs de Bolloré Africa Logistics
Chiffre d'affaires : 2,5 milliards d'euros.
Investissements : 250 millions d'euros par an.
Effectifs : 25.000 salariés.
Présent dans 55 pays dans le monde dont 45 en Afrique, avec plus de 250 filiales.28 concessions portuaires, ferroviaires, fluviales et plates-formes multimodales.3,6 millions de conteneurs manutentionnés.6,5 millions de tonnes manutentionnées par an.Plus de 6.000 camions et remorques.Plus de 10 millions de mètres carrés de bureaux, terre-pleins, magasins et ateliers.Aujourd'hui, les importations en Afrique venues d'Europe (250 milliards de dollars) sont rattrapées par les chinoises (200 milliards) et les indiennes (65 milliards) alors que le commerce avec l'Asie était inférieur à 20 milliards en 2000.