Les pays
africains peuvent exploiter les marchés en plein essor du riz, du maïs, du
soja, de l’huile de palme, des biocarburants ainsi que des matières biologiques
et s’imposer parmi les principaux exportateurs de ces marchandises sur les
marchés mondiaux, à l’instar des réussites de l’Amérique latine et de l’Asie du
Sud-Est. Concernant l’Afrique subsaharienne, les secteurs les plus dynamiques
sont probablement le riz, les céréales fourragères, les volailles, les produits
laitiers, les huiles végétales, l’horticulture et les aliments transformés pour
approvisionner les marchés nationaux.
L’agro
industrie, priorité des priorités
L’UA, la BAD et la BM
accordent plus d’importance à l’agro industrie. De même, l’ordre du jour du G20
agricole contient l’agro industrie. Mais les Etats doivent jouer un rôle
capital et le Gouvernement doivent mettre un accent particulier sur le secteur privé
et le développement des chaines de valeur.
Pour
cela, il faut relier les petits exploitants aux marchés. On peut donc regrouper
les petits exploitants pour qu’ils deviennent les exploitants de taille
moyenne. Ils ont aussi insisté sur la recherche et le développement, sans
oublier la coopération Sud-Sud.
Le
moment est venu de faire de l’agriculture et du secteur agro-alimentaire
africains un catalyseur pour mettre fin à la pauvreté.
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